Une situation politique grise, confuse, brouillée.
La guerre entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie même stoppée, n’était pas une guerre de territoire mais une guerre de religion.
Que va faire Biden dans une Amérique divisée en deux clans antagonistes ? Que va–t-il faire de la situation de préparation à la guerre de Trump au Moyen Orient, entre les USA-Israël, Arabie saoudite et Iran ?
La Chine étouffe Hong Kong, Erdogan souhaite que la Turquie règne sur la Méditerranée. Les budgets des (...)
2020
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Une situation politique grise, confuse, brouillée.
25 novembre 2020, par Club Politique Bastille
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Cher es s tous, il est temps que nous débattions à nouveau. / Rendez-vous Vendredi 6 novembre 2020 18H
30 octobre 2020, par Club Politique Bastille
Envoyé : mardi 3 novembre 2020 à 09:26:32 UTC+1 Objet : Rendez-vous vendredi 18H
C’est une période exceptionnelle. Jamais vu : comme si le 21ème siècle débutait vraiment maintenant.
Cette pandémie est le résultat mortifère du virus néo-libéral qui dévaste l’environnement, la biodiversité, la nature, détruit l’héritage des générations passées, oui, la pire menace. Au Covid 19, succédera d’autres pandémies. S’ajoute la montée internationale d’un Islamo-fascisme meurtrier. Il a ses particularités. Nous en (...) -
Vendredi, un enseignant de collège a été décapité par un jeune tueur islamiste.
19 octobre 2020, par Club Politique Bastille
Vendredi, un enseignant de collège a été décapité par un jeune tueur islamiste. Décapité pour avoir fait son métier : professeur d’histoire il avait abordé en quatrième le chapitre sur la liberté d’expression.
Assassinat horrible, bestial, d’un homme livré à la mort par un réseau criminel. Profonde, profonde tristesse mais aussi colère débordante.
Les discours se répandent, se répondent, finissent par écœurer. Sidération, stupéfaction, effroi tout ce vocabulaire du saisissement répété à l’envi. Le 11 (...) -
« L’inquiétude »
2 octobre 2020, par Club Politique Bastille
« L’inquiétude »
Avant de réfléchir à l’état des choses, une remarque générale : hier dans les rues vides du confinement, aujourd’hui dans des artères fréquentées et masquées, ce qui domine c’est un sentiment de désarroi. Un brouillard domine les esprits, l’inquiétude tenaille et même la crainte de la mort rôde.
Le noir l’emporte sur la couleur. Les hommes ont peur du Covid-19. Cette malédiction internationale, cette pandémie concentre les angoisses exacerbées par les gouvernants et les chaines d’information… (...)
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